Extraits de mon intervention lors du banquet républicain avec Ségolène Royal

Publié le par David

"Chers(ères) amis(es), Chère Ségolène,
 
Je me souviens de la dernière fois où nous avons dîné ensemble, dans une gargote de poisson à Santiago du Chili. (…)
 
Le Chili, où tu conduisais notre délégation du Parti Socialiste venu soutenir la candidature de « Michèle » Bachelet. Au milieu du peuple des mineurs de cuivre venu l’acclamer, au milieu des milliers de petits pêcheurs pauvres venus lui exposer leur situation, je voyais dans les yeux de ces femmes venues en masse, oubliées parmi les oubliés, l’espoir, et ce sentiment que c’était elles qui étaient sur la scène, et qu’avec la gauche, c’était elles qui allaient gagner, gagner pour leur camp, celui qui a porté Allende, celui qui a combattu Pinochet, mais au-delà, celui qui depuis des siècles forme la moitié de l’humanité mais reste méprisé, nié, relégué, les femmes. Et je voyais comment ce poids là pesait indirectement sur toi, la conscience que la confiance qui commençait à monter autour de toi en France devait avoir un rapport avec cela, une responsabilité de faire gagner la gauche mais aussi de porter cette gigantesque et séculaire aspiration et espoir des femmes, et ne pas la décevoir. (…)
 
Tu crées une réconciliation entre les couches populaires et la modernité ; là ou d’autres par mépris pour ces couches populaires pensent qu’elles ne peuvent entendre que les peurs et les bonnes vieilles recettes du passé et du conservatisme. Oui, c’est possible de défendre nos valeurs de gauche qui viennent de loin, et d’inventer les outils adaptés à notre 21è siècle pour les faire vivre. Oui, le choix n’est pas d’être moderne et d’oublier nos valeurs ou défendre des valeurs désincarnées avec des outils qui ne peuvent plus les faire vivre. Oui, il y a une vie au-delà du clivage entre la 1ère et la 2ème gauche. On a parlé du droit d’inventaire, nous revendiquons le droit d’inventer.
 
Tu sais, que pour moi, et que pour beaucoup dans notre parti il y a eu un avant et un après 21 Avril 2002. Avec des amis, dès le lendemain, nous nous sommes promis de tout faire pour que la France et notre parti ne revive plus jamais ça, d’abord en répondant aux quatre questions clefs, sur lesquelles nous avions fait trop l’impasse : la crise sociale, la nécessaire redistribution des richesses, et plus particulièrement, au-delà de la question de l’emploi, la crise de la valeur travail, de la valeur du travail dans une France de la précarisation généralisée et des bas salaires; la crise démocratique et la nécessité de faire entrer de la participation des citoyens et des salariés par les portes et les fenêtres de notre République pour revivifier la délibération et éclairer la décision ; l’autorité républicaine qui passe par la réaffirmation d’une laïcité offensive et en actes, par la prise en compte du besoin de sûreté (premier article de la déclaration des droits de l’homme), par un effort d’éducation accru, avec la pédagogie républicaine des droits et des devoirs : c'est-à-dire la lutte intransigeante contre les inégalités et les discriminations mais aussi par la fermeté face à tous ceux qui au quotidien appliquent la loi du plus fort, du sexisme, de la violence et du chacun pour soi dans nos quartiers ; la nécessité d’une relance de la construction européenne face à la mondialisation libérale, en mettant au centre l’Europe sociale et l’Europe démocratique, face à celle qui se réduirait à un simple marché ; la rénovation de notre parti avec son ouverture sur la société.
 
Je ne suis d’ailleurs pas étonné, et je suis très heureux que ceux qui ont fondé cette démarche pour un nouveau Parti Socialiste, malgré des chemins qui ont divergé, se retrouvent avec toi aujourd’hui : je pense à Vincent, à Arnaud et à Julien. Tout comme je suis très heureux que tu sois la seule à rassembler des dirigeants et militants qui ont eu des parcours aussi divers ces dernières années, qui ont voté oui ou qui ont voté non au référendum.
 
Pour finir, parce que nous sommes à Paris, dans ce quartier populaire d’où les campagnes de François Mitterrand ont commencé, je voudrais te faire partager un sentiment qui doit être commun à beaucoup ici.
 
Nous retrouvons la même flamme, nous sentons la même dynamique possible, que celle qui nous a amenée aux responsabilités à Paris : le rejet de la droite, l’aspiration des quartiers populaires, la mise en mouvement des citoyens actifs, des forces vives. Et je voudrais affirmer, que pour nous, et je sais que je peux le faire au nom de tous les élus ici présents, notre engagement avec toi et dans une parfaite harmonie avec ce qui fait notre engagement au quotidien au service des parisiennes et parisiens à la tête de la municipalité sous la direction de Bertrand Delanoë. D’ailleurs, je souris un peu quand j’entends que l’on ironise sur ton insistance sur la démocratie participative, quand je vois avec quel enthousiasme et unanimité nous avons porté cette exigence comme une marque de fabrique des socialistes parisiens.
 
Dans ce quartier historique, où la Commune de Paris, le Front Populaire, la Résistance, et la victoire contre la Chiraquie, y a eu son épicentre, dans ce quartier où 120 nationalités se côtoient, vivent ensemble, même quand des conflits internationaux opposent leurs pays d’origines, nous savons que Sarkozy c’est la fin de cette histoire : celle de notre pacte social et national, laïc et républicain, et nous savons plus qu’ailleurs que c’est avec les valeurs que notre parti défend, celles que tu représentes provoquant tant d’espoir pour nous tous, que la vie continuera avec ce qu’elle a de plus positif, de plus optimiste et de plus joyeux.
Merci Ségolène d’être parmi nous ce soir, avec les élus qui te soutiennent Roger Madec (sénateur et Maire du 19ème), Christophe Caresche (Député et Adjoint au Maire de Paris), Dominique Bertinotti (Maire du 4ème), Christophe Girard, Mireille Flam, Olga Strostiansky, Lyne Cohen-Solal, François Dagnaud (toutes et tous adjoints au Maire de Paris), Alain Morell, Gérard Rey, Philippe Ducloux, Eric Taver, et Nathalie Kaufman, Jean-Michel Rosenfeld (adjoint au Maire du 20ème). Je veux aussi citer Georges-Pau Langevin qui portera nos couleurs aux législatives dans le 20è et à travers elle, toutes et tous les candidats ici présents, et enfin quelques amis qui animent Désir d’Avenir dans le 20è pour mettre à l’honneur celles et ceux qui font la même chose dans tout Paris et qui sont ici présents et que je ne peux pas tous citer : Marc Wluscka, Jean-François Pascal, Ouarda Karraï, et Francis Piegza."

Vous pouvez retrouver des photos de banquet dans mon album photo.

Publié dans Mon engagement

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O
Voici du grain à moudre pour tous ceux que la politique interesse!<br /> Réflexions d’un citoyen du monde sur l’essentiel<br />  <br /> <br /> Où sommes nous ?<br />  <br /> <br /> Nous évoluons sur une planète privilégiée perdue dans un univers hostile fait de roches, de gaz de particules, et soumis à des températures extrêmes.<br />  <br /> <br />           Cet univers a-t-il été conçu ou non par un dieu « créateur » ? Personne ne peut apporter à ce sujet de réponse pertinente. Le problème religieux doit donc se cantonner au niveau de la conscience individuelle et non collective.<br />  <br /> <br /> La vie a envahi la terre ;  trois règnes s’y côtoient : l’animal, le végétal, et le minéral.<br />  <br /> <br /> Mais au cours de ces deux derniers siècles, un animal : l’homme, a pris le contrôle de l’ensemble, or, visiblement la situation lui échappe, et il ne sait comment gérer cette planète dont il s’est arrogé la propriété.<br />  <br /> <br /> Où allons nous ?<br />  <br /> <br /> En voici quelques raisons :<br />  <br /> <br /> Une trop rapide augmentation de la population, multipliée par six en deux siècles, appelait de profondes transformations sociales, mentales, économiques et d’infrastructures sans communes mesures avec les moyens disponibles et les politiques suivies durant la même période.<br />  <br /> <br />          En même temps que le nombre de bras augmente les besoins en main d’œuvre diminuent, du fait de la mécanisation, de la robotisation et de la course à la productivité.<br />  <br /> <br />          Une fraction non négligeable de la population, ne dispose pas de moyens d’existence décents, tandis qu’une infime minorité accumule des richesses de façon démesurée.<br />  <br /> <br /> L’homme,  excelle dans les sciences, et la production, mais il est totalement dépassé aux plans: politique, économique et même philosophique.<br />  <br /> <br />          Arrêtons là le constat, et donnons-nous comme objectif d’imaginer un type de société ou l’humanité toute entière trouve sa cohésion et  gère « en bon père de famille »,  l’ensemble de la planète<br />  <br /> <br /> Que souhaitons nous ?<br />  <br /> <br />        Comme nous le constaterons ci-dessous, c’est une utopie techniquement réalisable, mais mentalement impossible car nous avons des difficultés à abandonner nos repères habituels<br />  <br /> <br /> Quatre questions essentielles pour le devenir de l’humanité<br />  <br /> <br />  1/ - Population : Combien d’hommes la planète peut-elle accueillir sans mettre en cause les équilibres naturels ?<br />  <br /> <br />  2/ - Moyens d’existence : Comment permettre à chaque individu de se nourrir d’être protégé soigné, éduqué tout au long de sa vie ?<br />  <br /> <br />  3/ - Sécurité : Comment assurer la sécurité collective et individuelle ?<br />  <br /> <br />  4/ - Environnement : Comment  laisser à nos successeurs une planète non épuisée ou dégradée ?<br />  <br /> <br /> Que pouvons nous ?<br />  <br /> <br />          Voici les réponses que j’entrevois au plan « technique »<br />  <br /> <br /> Gouvernance mondiale<br />  <br /> <br />        Confier à un gouvernement mondial, (émanant d’une ONU redéfinie) les grandes orientations de l’humanité.   Ce gouvernement disposerait de deux atouts majeurs : d’une monnaie unique  et d’une armée mondiale constituée de l’ensemble des armées nationales <br />  <br /> <br />        Il serait le garant des droits de l’humanité, des droits de l’homme, et du droit au travail pour tous.<br />  <br /> <br /> (Prévoir une organisation de ce pouvoir excluant toute dérive dictatoriale).<br />  <br /> <br />          Les notions de pays, et de nations ne seraient nullement remises en cause  Par contre les régimes seraient obligatoirement des démocraties.<br />  <br /> <br /> 1 / - Population<br />  <br /> <br />          Nous savons calculer la population globale admissible  en fonction des ressources planétaires et du niveau de vie  <br />  <br /> <br />          Par exemple actuellement (1,2 milliards d’habitants peuvent vivre comme un américain moyen, ou 33,6 milliards  comme dans les pays les plus pauvres)<br />  <br /> <br />          Nous sommes 6,5 milliards d’hommes sur terre et ce chiffre s’accroît d’un milliard tous les douze ans  Une politique contraignante de limitation des naissances permettrait de réguler ce             « paramètre » en posant comme donnée fondamentale qu’il est préférable d’éviter une naissance que de tuer un être humain par la sélection naturelle, la misère ou la guerre<br />  <br /> <br /> Limiter les naissances : on sait faire<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> 2 / - Moyens d’existence<br />  <br /> <br />          Le développement des techniques et plus particulièrement de la robotisation laisse de plus en plus de monde en dehors du circuit traditionnel du travail.<br />  <br /> <br />          Parallèlement une quantité énorme de taches utiles, ne sont pas accomplies, car elles apparaissent contre-productives<br />  <br /> <br />          Or, dans le droit de l’humanité figure un droit au travail pour tous.<br />  <br /> <br />          La solution consiste à concevoir une société à deux vitesses et un financement adapté : - Un circuit traditionnel du travail soumis aux critères habituels de rentabilité. (Sans commentaires)<br />  <br /> <br />          - Un circuit social chargé de proposer obligatoirement un emploi à tous ceux qui n’ont pu s’intégrer ou se maintenir dans le circuit traditionnel, il est financé par la planche à billets mondiale. (Voir ci-dessous)<br />  <br /> <br />          Les tâches susceptibles d’être réalisées dans ce second circuit sont innombrables, en voici quelques exemples : (surveillance et soins aux personnes âgées, aux enfants, aux infirmes, amélioration du cadre de vie dans un quartier, une ville, un pays, entretien des forêts, reboisement, formation des adultes, lutte contre la désertification, soutien scolaire, actions citoyennes, etc., etc.)<br />  <br /> <br />          Des critères de rentabilité doivent être pris en compte dans ce second secteur afin que tout salaire versé corresponde à un travail effectif, utile et de qualité. Les négligences sont sanctionnées par une mise à pied temporaire et sans salaire.<br />  <br /> <br />          Tout travail procurant un pouvoir d’achat, le secteur concurrentiel s’en trouve dynamisé.<br />  <br /> <br /> Concrètement : les salaires sont plus attractifs dans le premier circuit que dans le second. Chacun trouve néanmoins, un emploi correspondant à ses mérites et  motivations et peut passer d’un secteur à l’autre.<br />  <br /> <br />          Financement du secteur non concurrentiel :<br />  <br /> <br />          Le gouvernement mondial a la maîtrise de la monnaie unique. Celle-ci ne peut donc s’apprécier ou, se déprécier par rapport à aucune autre. Il convient seulement de conserver un équilibre entre le montant global de la monnaie émise et le volume total des biens et services proposés. Cela est rendu possible grâce à un circuit court de la monnaie.<br />  <br /> <br />          En résumé, le gouvernement mondial édite de la monnaie qui lui permet de payer tous les travailleurs du service non concurrentiel<br />  <br /> <br />          Une consommation normale s’effectue tout au long de l’année, consommation à laquelle doit s’adapter et répondre le secteur concurrentiel.<br />  <br /> <br />          En fin d’année les particuliers qui souhaitent épargner, ne peuvent conserver que 10% (par exemple) de leur gain annuel, le reste est annulé.<br />  <br /> <br />          Chacun étant garanti de percevoir des revenus tout au long de sa vie, la thésaurisation ne s’impose plus, et la discrimination par l’argent disparaît. Seul, le train de vie distingue les plus productifs, et les plus créatifs. On peut envisager qu’une grille des rémunérations impose qu’aucun homme ne puisse percevoir un salaire ou revenu supérieur, par exemple, à 100 fois le salaire minimum. La motivation reste cependant suffisante pour que le génie humain continue de s’affirmer.<br />  <br /> <br />          Le montant des retraites est indexé sur le salaire moyen perçu au cours de la vie active.<br />  <br /> <br />          La mendicité est interdite sauf éventuellement pour raison spirituelle  <br />  <br /> <br />          Les handicapés perçoivent le salaire minimum s’ils ne peuvent travailler<br />  <br /> <br /> Du travail et des moyens d’existence pour tous : on sait faire !<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> 3/ - Sécurité<br />  <br /> <br /> - Sécurité collective<br />  <br /> <br />          Il faut absolument retirer à tous les chefs d’état le droit et la possibilité de faire la guerre. A cet effet toutes les armées sont placées sous l’autorité du gouvernement mondial. Chaque état fournit et entretient le contingent qui lui est assigné, mais celui-ci est cantonné, 50% sur le territoire national, 50% à l’étranger, afin d’échapper à toute tentative d’utilisation de l’armée nationale par les gouvernements locaux. Chaque état doit donc héberger sur son territoire en contre partie, une quantité équivalente de militaires étrangers.<br />  <br /> <br />          L’armée mondiale intervient à l’initiative du gouvernement mondial pour régler toute velléité de conflit.<br />  <br /> <br /> -- Sécurité individuelle <br />          Police et gendarmerie disposent également des moyens militaires (non utilisés en permanence), pour leur action  de prévention ou de répression.<br />  <br /> <br />          Les prisons sont supprimées. (Elles n’ont pas prouvé leur efficacité) Toutefois, la société doit se protéger efficacement contre tous ceux qui l’agressent.<br />  <br /> <br />          Les peines prévues par le code pénal totalement révisé, sont de deux sortes :<br />  <br /> <br />          - Travaux d’intérêt général pour les premiers délits mineurs, et les délinquants récupérables.<br />  <br /> <br />          - Amputations physiques graduelles pour les fautes graves et les récidivistes conformément au code pénal révisé, (à partir d’une phalange d’un doigt) La peine est exécutée en milieu hospitalier spécialisé. Le condamné retrouve ensuite sa place dans la société et conserve son droit au travail, toutefois une période probatoire est exigée durant laquelle le délinquant est doté d’un bracelet électronique. Cette proposition à priori choquante paraît cependant plus humaine, mieux adaptée et plus dissuasive que les solutions actuelles.<br />  <br /> <br />          Une variante  aux propositions ci-dessus consisterait à laisser le choix au condamné entre une peine traditionnelle (prison), ou une amputation avec remise en liberté immédiate.       Personnellement entre cinq ans de prison et l’amputation d’un doigt, je choisirais la seconde solution<br />  <br /> <br />  <br />  <br /> <br /> Assurer la sécurité individuelle et collective : on sait faire<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> 4 / -Environnement <br />  <br /> <br />          Actuellement, la protection de l’environnement grève les prix de production, on fait donc semblant de prendre en compte ce problème, mais en réalité, il est largement marginalisé. Les océans se vident de leur faune, les puits de pétrole s’épuisent, les nappes phréatiques se dessèchent, les forêts disparaissent, la planète se réchauffe etc    etc   <br />  <br /> <br />          Le droit au travail et la monnaie unique permettent de traiter cette question au fond, et d’inverser la tendance à la dégradation. De très grands travaux peuvent être entrepris tels que reconstitution des forêts tropicales, arrêt de la désertification, reconquête progressive des déserts, recyclage systématique des matières premières, dépollution des sites, amélioration des paysages urbains, recherche d’énergies nouvelles, et non polluantes etc.<br />  <br /> <br /> Protéger l’environnement : on sait faire !<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br />          Utopie ou non ?<br />  <br /> <br />          A priori, tout ceci procède du rêve et ne peut être suivi d’effet car les mentalités ne sont pas prêtes aux nécessaires adaptations<br />  <br /> <br /> Pouvoir n’est pas vouloir !<br />  <br /> <br />   On ne sait pas faire !<br />  <br /> <br />                      - Dégager un consensus<br />  <br /> <br />                      - Prévoir et organiser<br />  <br /> <br />                      - Changer d’échelles de valeurs<br />  <br /> <br />   <br />  <br /> <br />          Avant de renoncer il serait bon, sous l’autorité de l’ONU, que chacune de ces suggestions soit soumise respectivement à des groupes de philosophes, de scientifiques, d’économistes, et de politiques d’horizons différents, en leur demandant :<br />  <br /> <br />          D’en faire une critique comparative et constructive par rapport à la situation actuelle<br />  <br /> <br />          De vérifier leur cohérence et leur faisabilité <br />  <br /> <br />          En cas d’adhésion significative à ces principes, il leur appartiendrait également d’échafauder un calendrier sur une cinquantaine d’années pour la préparation et la mise en œuvre toujours sous l’égide de l’ONU.<br />  <br /> <br />          Mais là encore nous sommes en pleine utopie, car :<br />  <br /> <br />          L’ONU ne peut être mandatée que par des gouvernements<br />  <br /> <br />           Or, aucun gouvernement ne cautionnera, une future amputation de ses prérogatives sur les deux pôles du pouvoir que sont l’armée et la monnaie.<br />  <br /> <br />          Si une action doit se dessiner, pacifiquement elle ne peut démarrer que de la base, organisée en associations : locales, nationales, internationales. Il est certain qu’un foisonnement d’idées pourrait  en sortir via internet prouvant que d’autres choix sont possibles essentiels et urgents.<br />  <br /> <br />           Lorsque les médias s’empareront à leur tour du sujet, les responsables politiques aiguillonnés par leur base seront enfin contraints de s’occuper des vrais problèmes de l’humanité.<br />  <br /> <br />                                                                                               Michel Odinot<br />  <br /> <br />                                                                                                                      odinot.michel@neuf.fr<br />  <br /> <br /> PS : Le contenu de ce texte peut, sans autre accord, être amélioré et utilisé  par tous ceux qui s’intéressent au sujet et souhaitent le prendre à leur compte.<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br />  
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L
La Politique vous intéresse??<br /> Je vous propose d'aller visiter ce blog : http://33.royaliste.com.over-blog.com/<br /> Des articles intéressants, des idées à connaître, des actions à commenter...N'hésitez pas à mettre vos réactions.<br /> Cordialement<br /> Lux
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L
La Politique vous intéresse??<br /> Je vous propose d'aller visiter ce blog : http://33.royaliste.com.over-blog.com/<br /> Des articles intéressants, des idées à connaître, des actions à commenter...N'hésitez pas à mettre vos réactions.<br /> Cordialement<br /> Lux
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F
On entend partout que la présidentielle 2007 se jouera sur la toile ou ne sera pas<br />  <br /> <br /> Interessant ce blog, dans un esprit totalement différent, un site amusant : http://presidentielles-2007.new.fr<br />  <br /> <br /> Ce qu'ils appellent sur ce blog http://webnews.blogspirit.com/web/, la million dollar présidentiable<br />  <br />
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